Temps ordinaire Tropaire 18e dimanche C ( et Pélerinage)
Va, pèlerin
Va, pèlerin, poursuis ta quête ; va ton chemin, que rien ne t'arrête. Prends ta part de soleil et ta part de poussière ; le cœur en éveil, oublie l'éphémère.
Tout est néant, Rien n'est vrai que l'amour.
Seigneur, fais-moi connaître ma fin, et quelle est la mesure de mes jours.
L'homme debout n'est rien qu'un souffle, celui qui marche rien qu'une ombre.
Je ne suis qu'un hôte chez toi, un passant comme tous mes pères.
À tes yeux, mille ans sont comme hier, c'est un jour qui s'en va, une heure dans la nuit.
Révèle ton œuvre à tes serviteurs, la splendeur du Seigneur soit sur nous !
CFC ©CNPL TdD 1980 |