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Histoire de la CFC
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Plusieurs recueils de textes ont parus en librairie :


La nuit, le jour, Desclée-Cerf 1973 ;

Guetteur de l’aube, Desclée 1976 ;

Sur la trace de Dieu, Desclée 1979 ;

Tropaires des dimanches, Sodec 1980 ;

Prières aux quatre temps. Des poèmes et des chants, Centurion 1986.


Des hymnes ou tropaires paraissent dans des numéros de Liturgie dont quatre, les n° 56, 66, 95 et 107, leur sont presque entièrement consacrés.


La commission rédigea également des formulaires de prières litaniques pour les Laudes et Vêpres, ainsi qu’un recueil de prières pour les différentes heures de la journée, selon les jours et les fêtes :


Prières de louange et d’intercession, St-Paul 1986. Seconde édition révisée Louanges et intercessions, St-Paul 1989.

Prière au fil des heures, Centurion 1982. Seconde édition révisée, actualisée, complétée : Prions le Seigneur, Lethilleux-Kinnor 2004.


Tous ces livres sont maintenant épuisés, hormis le plus récent, Prions le Seigneur. Mais, peu à peu c’est tout ce corpus qui sera introduit sur le site CFC-Liturgie. Un corpus qui s’enrichit avec les années et l’arrivée de nouveaux auteurs.


L’on pourrait se demander, face au nombre de textes existant déjà, si cela vaut la peine de produire de nouvelles œuvres. Oui, cela vaut la peine, car une langue évolue. Les communautés évoluent également et peuvent, parfois, faire de nouvelles options, dans leur chant, même si, pour des raisons évidentes, elles maintiennent une certaine stabilité dans leur répertoire. D’autre part, pourquoi interdirait-on à des auteurs d’exprimer dans l’aujourd’hui de la liturgie ce qu’ils ressentent et ont envie de communiquer ? Comment et pourquoi arrêter l’inspiration poétique ? À condition, bien sûr, que le résultat en vaille lui-même la peine : l’examen des textes par la section ad hoc de la C.F.C. est là pour le vérifier et le garantir, pour qui accepte de se soumettre à ce qui se veut une aide fraternelle. Mais le vrai discernement sera opéré par la mise en musique, l’utilisation et donc la “réception” des œuvres par les communautés célébrantes.


Le lien texte-musique, en effet, est important. À quoi sert un beau texte, s’il n’est pas chantable, à moins qu’il ne soit destiné à être simplement déclamé ? Dès 1969 des contacts existent entre musiciens et poètes : c’est à ce rapport entre texte et musique que fut consacrée l’assemblée générale de cette année-là, au monastère des Gardes. Celle de 1985 à Jouarre reprit le sujet. Les textes, qui sont isorythmiques – c’est-à-dire que chaque strophe a le même rythme verbal, constitué de syllabes appuyées ou non qui reviennent aux mêmes endroits –, semblent bien convenir pour pouvoir être mis en musique, au point qu’un même texte a souvent inspiré plusieurs musiciens. Certains de ceux-ci ont beaucoup composé pour le monde monastique, comme Jacques Berthier (+), Stéphane Caillat, J.-M. Dieuaide, Pierre Doury, Henri Dumas, Joseph Gelineau, Philippe Robert, Marcel-Joseph Godard (+),Francine Guiberteau, Christian Villeneuve (+). De jeunes et nouveaux compositeurs prennent le relais en Europe… ou au Québec. Au total, en 2007, 1500 musiques sont répertoriées sur le catalogue du fonds Secli.




 
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