Je ne pourrai plus rien dire
Je ne pourrai plus rien dire
Je ne pourrai plus rien dire.
Je pleure à ce tombeau vide.
Nul ne sait où on l'a mis.
J'ai rejoint la solitude.
C'est fini.
Je ne veux plus rien entendre.
Je cherche à l'abri de l'ombre.
Nul ne sait où on l'a mis.
Le matin restera sombre.
C'est la nuit.
Je vois à travers mes larmes
Un homme qui me regarde.
Un inconnu dit : "Marie !"
Et la joie du jour éclate :
Rabbouni !
CFC (Nicole Berthet)
Lit 66 1988